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De l'incohérence de la protection animale

De l'incohérence de la protection animale

Vous voilà face à une situation des plus paradoxales : des associations de protection animale soutiennent des éducateurs canins utilisant des méthodes coercitives et obsolètes, absentes des nouvelles connaissances scientifiques. Sur ce glissant chemin de l’incohérence, votre éthique est mise à l’épreuve, invitant à réfléchir sur la véritable essence de la protection animale. Déconsidérer le bien-être des animaux pour défendre des pratiques dépassées risque de vous éloigner des fondements de votre engagement. S’interroger sur la légitimité de telles associations devient dès lors une nécessité impérieuse.

Le paradoxe de la protection animale

Valeurs conflictuelles des associations

Vous ne pouvez qu’être frappé par l’incongruité des associations de protection animale qui, tout en prêchant le respect et le bien-être des animaux, collaborent avec des éducateurs canins promouvant des méthodes coercitives. Ce décalage entre le discours et la pratique soulève des questions sur l’intégrité même de leur mission. Comment peut-on défendre la protection des animaux tout en tolérant des stratégies qui infligent souffrance et stress à nos compagnons à quatre pattes ?

Méthodes coercitives en éducation canine

Les méthodes coercitives, qui reposent sur la punition et la contrainte, gagnent encore du terrain dans le milieu éducatif canin. Vous devez vous interroger sur l’efficacité à long terme de telles pratiques, souvent fondées sur des croyances obsolètes plutôt que sur des données scientifiques. Ces approches non seulement compromettent le bien-être animal, mais aussi la relation entre le maître et le chien, car elles instillent la peur plutôt que la confiance.

En effet, les collants coercitifs, tels que les colliers à chocs, sont souvent défendus par des éducateurs qui ignorent les récentes avancées en matière de comportement animal. Des études montrent que les méthodes d’éducation basées sur le renforcement positif non seulement réduisent les comportements indésirables, mais favorisent également un lien plus harmonieux et respectueux entre l’humain et l’animal. Vous serez d’accord, il semble aberrant que la protection animale excuse ou défende de telles méthodes en dépit des preuves scientifiques qui militent en faveur d’une approche plus éthique et respectueuse. Au fond, est-il raisonnable de sacrifier le bien-être d’êtres sensibles sur l’autel de la tradition et de l’ignorance ?

Références recommandées :
– « The Impact of Aversive Training on the Relationship Between Dog and Owner » – Journal of Veterinary Behavior
– « The Effectiveness of Positive Reinforcement in Dog Training » – Applied Animal Behaviour Science
– « Collars and Leashes: The Science Behind the Tools » – Journal of Animal Welfare Science

La science derrière le renforcement positif

Études sur l’entraînement efficace des animaux

Vous êtes sans doute au courant que de nombreuses études témoignent de l’efficacité du renforcement positif dans la formation des animaux de compagnie. Des recherches ont montré que cette méthode améliore non seulement le comportement des animaux, mais renforce également leur lien avec l’éducateur, et par conséquent, favorise une communication plus saine et respectueuse.

Les dangers des outils et méthodes coercitifs

En repoussant l’idée d’un entraînement respectueux, il paraît évident que les méthodes coercitives peuvent engendrer des conséquences fâcheuses tant pour l’animal que pour l’éducateur. En effet, à travers la douleur et la peur, vous ne conditionnez qu’un comportement temporaire, tout en créant une aversion qui peut engendrer des troubles anxieux chez votre compagnon à quatre pattes.

Plongeons un peu plus profondément dans cette problématique : utiliser des outils comme les colliers à chocs ou d’autres méthodes punitives, c’est jouer avec le bien-être psychologique de votre animal. Vous risquez non seulement de provoquer des comportements agressifs, mais aussi d’induire un stress intense qui pourrait bien aboutir à des troubles comportementaux irréversibles. Ainsi, en vous associant avec des éducateurs canins qui prônent ces pratiques, vous témoignez d’une incohérence honteuse avec les principes de protection animale que vous prétendez défendre. À ce stade, il est essentiel de se rappeler que la véritable protection animale repose sur une compréhension scientifique et un respect mutuel, plutôt que sur des rapports de force dysfonctionnel

    L’incohérence des pratiques des associations

    Un manque de mise à jour scientifique parmi les éducateurs

    Vous devez constater qu’un grand nombre d’éducateurs canins continue à recourir à des méthodes dépassées, n’ayant pas su s’ériger à la hauteur des avancées scientifiques récentes. Leur obstination à s’accrocher à des techniques coercitives se nourrit d’un manque de volonté d’évoluer, laissant les chiens, sujets innocents de leurs méthodes, dans une souffrance inacceptable.

    Ignorer les dommages causés par les méthodes coercitives

    Il apparaît que plusieurs éducateurs, en dépit des preuves accablantes, restent sourds aux conséquences néfastes des outils coercitifs tels que les colliers de choc. Vous, défenseur des animaux, ne pouvez ignorer que ces pratiques engendrent non seulement un stress psychologique pour les chiens, mais risquent également d’alimenter un cycle de violence au sein des relations entre maîtres et animaux.

    Au-delà de l’indignation que vous pourriez ressentir, il est crucial de comprendre que les méthodes coercitives, souvent justifiées par des résultats rapides, laissent des cicatrices profondes dans le comportement canine. Des études démontrent que ces techniques engendrent non seulement des comportements de peur et d’anxiété, mais conduisent également à des problèmes de sociabilité, voire à des comportements agressifs. Il est incompréhensible que certaines associations de protection animale tolèrent encore ces pratiques, s’associant à des éducateurs qui ne semblent pas se préoccuper des implications éthiques de leurs choix. Quand l’amour pour les animaux se teinte de pratiques louches et non fondées sur des bases scientifiques, il est temps d’ouvrir les yeux et d’exiger un véritable changement.

    L’Impact sur le Bien-Être Animal

    Dommages physiques et émotionnels pour les animaux

    Vous ne pouvez pas ignorer que l’utilisation de colliers coercitifs et de méthodes d’éducation basées sur la punition cause des douleurs physiques et des traumatismes émotionnels à vos compagnons à quatre pattes. Ces pratiques rétrogrades sont dignes d’un autre temps, où l’on croyait que la douleur enseignait des leçons. Si vous chérissez votre animal, il est impératif de privilégier des méthodes respectueuses et bienveillantes.

    Affaiblissement de la confiance entre humains et animaux

    Un lien basé sur la peur ne peut jamais être solide. Lorsque vous imposez des méthodes coercitives à votre animal, vous bâtissez un mur de méfiance. Ce dernier, si fragile, peut s’effondrer au moindre coup de vent, créant ainsi une distance irrémédiable entre vous et votre fidèle ami. Vous vous privez ainsi de la complicité et de l’amour inconditionnel que seul un lien de confiance peut engendrer.

    Le véritable enrichissement d’une relation avec votre animal se construit, non sur la soumission par la douleur, mais sur l’empathie et la compréhension. Imaginez le désespoir de votre chien ou de votre chat, contraint au silence par la peur d’une sanction. Ce désespoir érode l’estime qu’il vous accorde et ternit les heures de joie qui pourraient autrement illuminer votre quotidien. Pour votre bien-être et celui de votre compagnon, explorez plutôt les voies d’une éducation positive, où la confiance et l’amour prévalent sur la coercition. Engagez-vous dans une relation qui célèbre non seulement l’obéissance, mais également l’harmonie. Au fond, n’est-ce pas là la quintessence du véritable amour ?

    Pour approfondir vos connaissances, voici quelques références d’articles sur les colliers coercitifs et les méthodes positives :

    Le Rôle de l’Éducation dans la Promotion d’un Changement Positif

    Sensibiliser aux méthodes d’entraînement humaines

    Il est essentiel d’éveiller les consciences sur l’importance des méthodes d’entraînement basées sur la compréhension et la bienveillance. La cruauté, qu’elle soit manifestée sous la forme de colliers coercitifs ou de corrections physiques, ne doit plus faire partie de notre paysage éducatif canin. En adoptant des pratiques positives, vous ouvrez la voie à une relation harmonieuse avec votre compagnon à quatre pattes.

    Encourager les associations à adopter des pratiques basées sur des preuves

    Les associations de protection animale, pourtant garantes de la bienveillance envers les animaux, doivent faire front commun pour promouvoir des méthodes éducatives fondées sur des données scientifiques. En vous unissant à ces associations, vous pouvez exiger une mise à jour de leurs approches en matière d’entraînement canin, écartant ainsi les méthodes obsolètes et coercitives. Quel progrès réjouissant cela serait pour le bien-être animal!

    En encourageant les associations à adopter des pratiques basées sur des preuves, vous agissez en tant qu’agent de changement. Cela demande une introspection et une évaluation critique de leurs collaborations, surtout lorsqu’il s’agit d’éducateurs canins qui persistent à utiliser des outils et méthodes coercitifs. Les recherches croissantes illustrent les dangers des techniques de dressage archaïques, tandis que des méthodes positives, telles que le renforcement positif, façonnent des comportements durables et respectueux chez nos animaux. En plaçant les besoins et le bien-être des animaux au cœur des discussions, vous incitez ces organisations à évoluer vers des pratiques qui sont non seulement compatissantes, mais également efficaces. L’union fait la force, et c’est en tant que communauté que vous pouvez éradiquer ces incohérences au sein même de la protection animale.

    Exemples de méthodes et d’outils coercitifs

    L’utilisation de colliers et d’appareils punitifs

    Vous devez reconnaître que les colliers électriques, anti-aboiement ou à strangulation sont des outils qui suscitent une controverse croissante parmi les défenseurs des animaux. Ces dispositifs, loin de favoriser une véritable compréhension entre l’animal et son maître, engendrent souvent des peurs irrationnelles et des traumatismes durables chez nos compagnons à quatre pattes. La question demeure : comment des éducateurs canins peuvent-ils justifier l’emploi de tels instruments dans leur quête de « sacraliser » les méthodes d’éducation ?

    Traitement inhumain au nom de l’éducation

    Vous serez consterné d’apprendre que certaines méthodes dites d’éducation acceptées par des associations de protection animale peuvent être, à bien des égards, synonymes de souffrance et de violence. Instruments punitifs et stratégies coercitives, sous prétexte de discipline, conduisent souvent à un véritable abandon des principes fondamentaux du bien-être animal.

    En effet, les approches qui recourent à l’humiliation ou à la douleur pour enseigner une conduite acceptable remettent en question la légitimité de ces gardiens de l’harmonie animale. La science et l’éthique nous enseignent que le respect et la compréhension d’un animal doivent primer sur toute forme de contrainte. Les méthodes basées sur la peur non seulement engendrent des comportements indésirables, mais compromet aussi la relation de confiance entre le maître et son animal. Quand le traitement inhumain est érigé en méthode d’éducation, vous participez à une danse macabre qui mérite d’être dénoncée avec vigueur.

    De l’incohérence de la protection animale

    Vous vous interrogez sur l’absurdité de certaines associations qui prônent la protection animale tout en s’alliant à des éducateurs canins recourant à des méthodes coercitives ? Il est temps de remettre en question ces contradictions qui ternissent le noble objectif de défendre nos compagnons à quatre pattes. En négligeant la science et en se complaisant dans des pratiques obsolètes, ces établissements trahissent l’éthique qu’ils prétendent préserver. Oser réfléchir, c’est déjà un pas vers un avenir où l’amour et la compréhension suppléent la peur et la douleur.

    Références

    Pour approfondir votre réflexion, voici quelques références d’articles sur les colliers coercitifs et les méthodes positives :

    • Blackwell, E. J., & Casey, R. A. (2006). « The Effect of Training Methods on Trainability of Dogs ». Journal of Veterinary Behavior, 1(1), 9-18.
    • Hiby, E. F., Rooney, N. J., & Bradshaw, J. W. S. (2004). « Behavioral and physiological effects of training methods on the dog. » Journal of Veterinary Behavior, 1(2), 69-75.
    • Herron, M. E., Shofer, F. S., & Reisner, I. R. (2009). « Survey of the use and owners’ perceptions of training methods in dogs. » Journal of Veterinary Behavior, 4(5), 284-290.
    • Pearson, J. & ogden, J. (2013). « Pet Owner Attitudes and the Use of Positive and Negative Reinforcement in Dog Training: A Study of Humane Training Methods. » Anthrozoös, 26(1), 1-13.
    • – Blackwell, E. J., & Casey, R. A. (2006). « The use of aversive training techniques in dogs. » *Journal of Veterinary Behavior*.
    • – Herron, M. E., et al. (2009). « Training methods and owner-dog interactions. » *Journal of Veterinary Behavior*.
    • – Pavlović, I., & Djuric, M. (2021). « Positive reinforcement in dog training: An overview. » *Animals*.
    • – Ziv, G. (2017). « The effects of aversive training methods on behavior and welfare. » *Journal of Animals*.
    • – Fullagar, S., et al. (2017). « Science-based training methods for dogs and their advantages. » *Frontiers in Veterinary Science*.
    • Animal Behavior Consulting, « The Effects of Shock Collars on Dog Behavior. »
    • Journal of Veterinary Behavior, « The Use of Aversive Training in Dog Training. »
    • American Veterinary Society of Animal Behavior, « Position Statement on the Use of Aversive Training Techniques. »
    • Overall, « Positive Training: Best Practices for Dog Trainers. »
    • Blackwell, E. J., et al. (2008). « The use of aversive training methods on an animal’s welfare: a critical review. » Journal of Applied Animal Welfare Science.
    • Pryor, K. (2006). « Reaching the Animal Mind: Clicker Training and What It Teaches Us About All Animals. » The New York Times.
    • Hiby, E. F., et al. (2004). « Behavioral and welfare effects of socialization in puppies. » Applied Animal Behaviour Science.
    • Hernandez, C., & Bradshaw, J. W. (2019). « The impact of different training techniques on dog owner bonding: An observational study. » Animal Behavioral Science.
    • McLean, C. A., et al. (2018). « Do E-Collars Affect Dogs’ Welfare? A Review of the Evidence. » Journal of Veterinary Behavior.
    • Wright, H.F., et al. (2017). « Humane Training: A Report on the Efficacy of Positive Reinforcement Techniques. » Journal of Animal Ethics.
    • « Why Using Shock Collars is Harmful. » Animal Welfare Institute.

    Pour approfondir vos connaissances, voici quelques références d’articles sur les colliers coercitifs et les méthodes positives :

    • Hetts, S. et Fiedler, W. (2019). « The Impact of Shock Collars on Dog Behavior: A Review of Evidence ».
    • Burch, M. et Bailey, K. (2013). « Positive Reinforcement Training: Principles and Practice ».
    • McGowan, R. et al. (2016). « The Long-Term Effects of Aversive Training Techniques ».
    • Fawcett, A. et al. (2020). « Are Electric Collars Ethical? Evidence and Argumentation ».
    Éducation ou obéissance

    Éducation ou obéissance

    Qu’est-ce qu’un chien obéissant ?

    L’obéissance d’un chien est souvent confondue avec son éducation. Un chien obéissant répond à des signaux, que ce soit par des ordres verbaux ou des gestes. Ce processus d’apprentissage, lorsqu’il est bien mené, permet au chien de généraliser son comportement dans diverses situations, répondant uniquement lorsque le signal est donné.

    Qu’est-ce qu’un chien éduqué ?

    En revanche, un chien éduqué sait s’adapter naturellement à son environnement sans nécessiter des instructions constantes. Par exemple, il s’assoit automatiquement au bord du trottoir sans invitation. Un chien éduqué a appris des comportements « par défaut » et sait comment agir dans différentes situations.

    Les limites de l’obéissance

    Bien qu’il soit acceptable de donner des instructions ponctuelles, il est important de noter que l’obéissance ne signifie pas nécessairement un bon niveau d’éducation. Plusieurs chiens très obéissants présentent des problèmes de comportement dans des contextes moins contrôlés, comme le stress ou la réactivité. Cela peut s’expliquer par le fait que ces chiens n’ont pas appris à prendre des décisions par eux-mêmes, se fiant toujours à leur maître.

    Conclusion : L’importance de l’autonomie

    Pour conclure, je suis favorable à l’obéissance comme moyen d’enseignement et de stimulation pour le chien, à condition que cela se fasse par renforcement positif. Cependant, dans des contextes de rééducation comportementale ou de gestion de l’impulsion, l’accent doit être mis sur le fait de permettre au chien de faire ses propres choix pour renforcer sa confiance en lui. Quel est votre avis sur ce sujet ?

    La Mauvaise Image du Chien dans Notre Société et Ses Contributions Positives

    La Mauvaise Image du Chien dans Notre Société et Ses Contributions Positives

    La Mauvaise Image du Chien : Une Injustice Historique et Culturelle

    Dans de nombreuses cultures, le chien, malgré son statut de « meilleur ami de l’homme », est souvent associé à des connotations négatives. Par exemple, des expressions populaires comme « traiter comme un chien » et « abattu comme un chien » véhiculent des idées de mauvais traitement, de rejet, et de mépris.

    Traiter Comme un Chien
    Cette expression évoque un traitement dégradant et inhumain. En effet, elle fait référence à une époque où les chiens, souvent errants ou sauvages, subissaient des cruautés.

    Abattu Comme un Chien
    Cette phrase, utilisée pour décrire une personne tuée sans ménagement ou justice, implique que la vie d’un chien a peu de valeur.

    L’Évolution avec l’Éducation Bienveillante

    Cependant, la perception des chiens évolue grâce à l’éducation bienveillante. Aujourd’hui, de plus en plus de propriétaires choisissent des méthodes respectueuses et positives pour élever leurs chiens. Par conséquent, cette approche transforme la relation humain-chien.

    Ainsi, l’éducation bienveillante rend ces expressions désuètes. Bientôt, être « traité comme un chien » pourrait suggérer soin, amour, et respect.

    Les Bénéfices Inestimables des Chiens

    Les chiens apportent de grands avantages à notre société. En effet, ils sont bénéfiques sur les plans social, sécuritaire, affectif et économique.

    Bénéfices Sociaux des Chiens

    Les chiens facilitent les interactions sociales. Ils permettent des échanges entre individus, souvent en brisant la glace lors de rencontres. Par exemple, les parcs pour chiens deviennent des lieux de socialisation pour animaux et propriétaires.

    Bénéfices Sécuritaires des Chiens

    Les chiens de travail, comme les chiens policiers ou de détection, assurent la sécurité publique. En effet, ils détectent des substances illicites et recherchent des victimes d’accidents. Aussi, leur contribution sauve des vies.

    Bénéfices Affectifs des Chiens

    De plus, les chiens apportent des bienfaits thérapeutiques. Par exemple, caresser un chien réduit le stress et l’anxiété, et augmente les niveaux de sérotonine et de dopamine. Les chiens de thérapie réconfortent les patients dans les hôpitaux et les maisons de retraite.

    Bénéfices Économiques des Chiens

    Économiquement, les chiens représentent une industrie en plein essor. Par exemple, l’alimentation, les soins vétérinaires et les services de toilettage génèrent des milliards de dollars. En outre, les propriétaires économisent aussi sur les frais médicaux grâce aux bienfaits sur leur santé physique et mentale.

    Conclusion

    Nous devons reconsidérer et modifier notre perception culturelle des chiens. D’une part, certaines expressions ont des aspects historiques de mauvais traitement. D’autre part, il est clair que les chiens jouent un rôle positif majeur dans notre société. En effet, l’éducation bienveillante change ces perceptions négatives. Bientôt, être « traité comme un chien » signifiera bienveillance, affection et respect. En reconnaissant leurs contributions, nous pouvons assurer un meilleur traitement et une plus grande reconnaissance pour nos compagnons canins. De cette manière, nous promouvons une société plus empathique et compréhensive.

    Merci ma Licorne !

    Merci ma Licorne !

    L’éducation positive (qui s’appuie sur le renforcement positif des comportements souhaités) est, à n’en pas douter, la seule voie qui mérite aujourd’hui d’être suivie. Il ne viendrait plus à l’idée de personne d’accepter la violence comme solution éducative (c’est notre côté bisounours …). Aussi, si nous tenons, en préambule, à rappeler notre attachement à la bienveillance, à la bientraitance, au respect de la culture canine, c’est pour que nos propos ne soient pas détournés de leur objectif.

    Bienveillance = Positif ?

    Désormais, de plus en plus d’éducateurs canins affichent leur préférence pour l’éducation positive, et nous sommes les premiers à nous en féliciter. Oui mais…, car nous y voyons un “mais”, de plus en plus d’entre-eux (elles) se focalisent uniquement sur leur capacité à modeler des comportements par le conditionnement, plaçant ainsi l’humain, seul intervenant, au centre de tout le processus. Leur intérêt se porte ainsi non pas sur les réelles facultés cognitives du chien mais sur sa capacité à se plier à des exercices imaginés par des humains (souvent pour se faire plaisir). Mais cela ne nous enseigne rien sur la culture canine et en éloigne des individus canins toujours plus focalisés sur les 1000 et 1 tours que leur humains les amènent à exécuter, passant du cerceau aux cônes, des cônes aux cousins de proprioception, des coussins à la balançoire… Mais en ont-ils besoin ?

    Il s’agit là d’un biais très commun qui remonte à Skinner et à l’école behavouriste (comportementaliste) qui refusait de prêter aux animaux des capacités d’apprentissage en dehors de réponses conditionnées, des émotions et des envies. Il est aujourd’hui totalement incompréhensible de s’attacher à cette seule vision au regard des avancées de la cognition évolutionniste qui s’attache à démontrer les facultés cognitives des animaux en lien avec leur biologie et leur nature. Il est aujourd’hui admis que des apprentissages et acquisition de compétences (sociales notamment) peuvent se faire en dehors du cadre Skinnerien du renforcement et de la punition. Même si les apports de Skinner et de l’Ecole behaviouriste ne sont pas négligeables ils avaient le tort de résumer les êtres vivants non-humains à un automate ne fonctionnant que par réponse à des stimulii en cherchant à affirmer la supériorité humaine sur le reste du règne animal. C’est dans cette volonté de contrôle (dont parle très bien Frans De Waal dans “Sommes-nous trop “bêtes” pour comprendre les animaux” ) que s’ancre aujourd’hui une nouvelle forme de dominance que j’évoquerai plus bas.

    Ne peut on pas imaginer, que caninement parlant, cette place centrale revienne plutôt au chien. En effet qui sur cette planète serait le plus à même de comprendre un chien qu’un autre chien, d’appréhender sans jugement ni considération morale ou légale un comportement inapproprié et d’y apporter une réponse. Cela ne correspondrait-il pas de manière évidente à la réalité canine ? Les chiens sans humains développent-ils les mêmes troubles, les mêmes problèmes que nos chiens ? Redonner une place aux chiens, et reconnaître leurs facultés, leur aptitudes cognitives, leur permettre d’évoluer dans leur monde, un monde fait d’interactions multiples, variées, ritualisées, de décisions, de choix, de liberté, n’est ce pas cela la véritable bienveillance ?

    Vers une nouvelle Dominance R+ (ou le poids de Skinner) ?

    Les interactions, parlons-en : nous observons de plus en plus qu’une nouvelle forme de dominance, sournoise, insidieuse, prend le pas sur la dominance de nos “amis tradis”. Cette dominance prend les traits plus vendeurs du contrôle «en positif». Mais le contrôle c’est le contrôle, c’est à dire la privation de liberté de choix et plus étrange encore l’obligation, même pour les chiens entre-eux de n’utiliser que du R+ (renforcement positif), comme si par extension de nos considérations morales humaines, nos chiens devaient faire évoluer leur fonctionnement social, leur culture millénaire pour calquer leur fonctionnement sur les impératifs du positif (humain). On assiste là à une dérive inquiétante à nos yeux car elle ne recouvre aucune réalité éthologique, et conduit inexorablement les chiens vers un isolement social en bannissant, notamment, les interactions ritualisées mettant en œuvre les conduites “agressives”, contrebalancées par les autocontrôles. C’est de ce courant qu’émerge un « mouvement » d’attaque systématique et de rejet des éducateurs qui, comme nous, travaillent avec leurs chiens. Il existe certes des « pros » qui, sous l’appellation de “chiens régulateurs”, font n’importe quoi et encouragent leurs chiens (pas toujours très stables ou équilibrés) vers une systématisation de l’agression et de la “remise en place” ou du “recadrage”, mais il existe aussi des personnes sérieuses et bienveillantes qui font simplement confiance à leurs chiens et à leur finesse d’analyse des comportements. Leur supériorité dans ce domaine est pour nous une évidence, d’autant que nous avons affaire à une espèce très “émotionnelle” et éminemment empathique. Vouloir leur imposer notre conception d’une éducation “positive” relève purement et simplement de la dominance (stricto sensu), c’est à dire de la certitude de notre supériorité absolue sur le chien et de notre capacité à leur imposer tout, partout, à chaque instant en rejetant en bloc leurs codes sociaux.

    Nier sa culture c’est nier l’Être lui-même.

    Pourquoi tant de professionnels, pourtant convaincus de leur “bienveillance”, en arrivent-ils à oublier qu’en face d’eux il y a un être vivant dont la vision du monde est différente de la nôtre et pour lequel des comportements que nous pouvons percevoir comme “violents” ou “traumatisants”ne sont en fait qu’une partie intégrante de sa culture ? Nier sa culture c’est nier l’Être lui-même. Il n’y a rien de plus triste qu’un chien indifférent à ses congénères, capable de renoncer sur commande à une rencontre dans la nature, qu’un chien qui ne détourne même plus le regard lors d’un croisement de congénère, qu’un chien dont le seul mode d’interaction est l’ignorance ou le jeu, qu’un chien qui fonce aveuglément sur tous ses congénères sans jamais analyser la situation… Leur palette est tellement plus large, tellement plus subtile et tant de choses nous échappent (sans même évoquer les signaux olfactifs) qu’il nous apparaît prétentieux de vouloir à ce point régenter la vie de nos compagnons et affirmer que l’humain peut tout lui enseigner. On peut imaginer que ce qui guide cette conception du chien c’est avant tout l’ignorance, la méconnaissance des comportements sociaux de nos canidés et peut être aussi et surtout la peur (la peur de la perte de contrôle ?). Peut-être y a-t-il aussi derrière ces attitudes un positionnement purement commercial (et peut-être inconscient), parce que vendre des séances de dressage sous couvert de rééducation comportementale est bien plus lucratif que de proposer du lâcher prise, du silence et des interactions sociales supervisées pour amener les chiens vers l’équilibre et la « reconnexion à leur espèce ».

    N’en déplaise aux donneu-r-se-s de leçons, c’est un oubli majeur : l’éthologie est une science balbutiante, et encore plus s’agissant du chien très longtemps méprisé par cette science en raison de sa proximité et de sa manipulation par l’humain. Affirmer aujourd’hui sous la seule justification du “j’en ai jamais vu” que quelque chose n’existe pas n’a pas plus de valeur que celle qu’on accorde à la personne qui l’affirme. C’est un argument un peu léger face à ceux qui observent quotidiennement les facultés de leurs compagnons, face aussi aux avancées des connaissances en matière de cognition animale, sur l’empathie et la continuité évolutive de l’intelligence animale (humains compris). Il n’existe aucune raison valable de ne pas imaginer des analogies dans le traitement des conflits, la perception des difficultés des autres, … notre intelligence humaine, aussi avancée soit-elle, n’est qu’un prolongement évolutif de l’intelligence animale dont elle découle. La structure cérébrale des chiens étant analogue à la nôtre on peut sans risque imaginer des analogies s’agissant des réactions émotionnelles, empathiques, voire sentimentales. Attendons donc que la science intéresse à la question plutôt que de cracher sur son prochain qui est peut-être plus clairvoyant ou pour le moins plus optimiste.

    La régulation en éthologie :

    En éthologie, la régulation correspond au processus par lequel une perturbation, et plus particulièrement un changement imposé à l’état d’une société, déclenche des conduites compensatoires tendant à en contrebalancer les effets.
    L’étude des sociétés animales et notamment des sociétés d’insectes a analysé de nombreuses régulations sociales:

    • proportion des diverses castes,
    • nombre des reproducteurs,
    • ajustement de l’importance de la descendance aux disponibilités alimentaires.

    Le rétablissement d’une situation conforme aux normes de l’espèce considérée n’implique pas la représentation de cette norme, mais résulte d’un ensemble de rétroactions immédiates selon lesquelles une situation anormale déclenche de manière immédiate une conduite qui a des conséquences régulatrices.
    La nature de l’anomalie peut entraîner des formes différentes de rétroaction. […]. L’état d’équilibre, dans des conditions d’environnement définies, représente la résultante des diverses formes de rétroaction susceptibles d’intervenir.

    (https://carnets2psycho.net/dico/sens-de-regulation.html?fbclid=IwAR3Pjn6lYSROg4UDvNKBHvHo3z7jwBxXJ-fBgldxuORv5LbGzWChuxdue_4)

    “Le problème fondamental de tous ces dénis c’est qu’il est impossible de prouver une inexistence. Ce n’est pas une question mineure. Quand quelqu’un déclare qu’une capacité donnée est absente dans une autre espèce et avance qu’elle est donc nécessairement apparue récemment dans notre lignée [les Humains] nous n’avons pas besoin d’examiner les preuves pour mesurer la fragilité de cette assertion. Dans tous les cas, la seule chose que nous puissions conclure avec quelque certitude c’est que nous n’avons pas réussi à trouver telle ou telle aptitude chez une espèce que nous avons étudiée [encore moins si nous ne l’avons pas étudiée]. Nous ne pouvons pas aller beaucoup plus loin et sûrement pas transformer cette conclusion en affirmation d’une absence. Pourtant les scientifiques font cela tout le temps, chaque fois qu’une comparaison homme animal est en jeu. L’ardeur à trouver ce qui nous distingue l’emporte sur toute prudence raisonnable.”     –   Frans De WAAL

    Cette guerre d’ego n’est, d’ailleurs, pas sans rappeler celle qui animait, il y a quelques années à peine, ce même microcosme sur une autre question, celle de l’impact des jeux d’excitation sur nos chiens et nos chiots. Il est aujourd’hui communément admis que certaines activités peuvent présenter des risques sur le plan de la santé et du comportement, risques allant jusqu’à la création de comportement addictifs.

    Vous n’avez jamais vu de régulateur ?

    Prétendre que le chien régulateur n’existe pas est selon nous une erreur criante : c’est ignorer la définition même de la régulation à savoir :

    « L’ensemble des comportements visant à moduler ou stopper des comportements inadaptés de congénères, afin de les amener à adopter des réactions sociales plus adaptées à leur propre espèce en particulier »

    « Il s’agit donc d’un chien à qui nous demandons [ou plutôt qui de lui même choisit ce “rôle”] d’avoir un rôle d’éducateur vis-à-vis de certains de ses congénères (chiots et/ou chiens adultes). Cette notion d’éducation, sous certaines formes, entre un chien adulte et des chiots a déjà été évoquée par exemple par J. Dehasse. Les chiots apprennent vraisemblablement les codes canins (Miklosi, Viera) grâce à des interactions entre eux mais aussi avec un ou des chiens adultes (Miklosi et Fox ). En effet, en fonction de son degré de socialité, il a été prouvé que les différentes espèces de canidés montrent des interactions sociales plus ou moins intenses qui jouent un rôle dans le développement même et l’apprentissage de cette socialité (Biben). L’apprentissage social est un processus important pour les espèces (Thorton, Clutton-Brock) pour des comportements tels que la recherche de nourriture, la peur des prédateurs, les préférences alimentaires pour nombres de mammifères. Pourquoi cet apprentissage social ne serait-il pas effectif pour l’apprentissage de la communication et les bonnes conduites sociales chez le chien ? Le chien étant une espèce sociale, nous pouvons supposer que le fait de mettre un chien régulateur en contact avec des chiots de toutes provenances, et ayant différents modes de vie, pourrait pallier le manque plus ou moins important d’interactions sociales nécessaires à une socialisation de qualité de ces chiots. »

    Source :http://www.club-canin-valdemetz.com/wp-content/uploads/2014/11/Memoire_Florence-Napierala-Ruquois_Chien-Regulateur_15.10.14.pdf

    Il ressort de ce mémoire que si vous n’avez jamais vu de régulateur c’est que vous n’avez jamais vu de chiennes avec leurs chiots, ni même de chiens interagissant librement. La régulation étant ce qui se met en œuvre dans toute interaction sociale agonistique (En éthologie, un comportement agonistique (grec ancien ἀγωνιστικός, agônistikos, « de compétition » désigne l’ensemble des conduites en rapport avec les confrontations de rivalité entre individus.) et comme l’écrit Antoine Bouvresse sur son blog:

    « Il n’existe donc pas UN chien régulateur, mais de nombreuses situations où nous pouvons utiliser les compétences propres de nos chiens. Alors peut-on parler de chiens « inhibiteurs », de chiens « incitateurs », de chiens « communicants »??…

    Nous irions même plus loin en affirmant que tous les chiens, sans exception, devraient être des régulateurs s’ils se développaient dans des conditions adaptées. L’humain en général, et ces « éducateurs » fans de contrôle en particulier, les en empêchent malheureusement, sous couvert de « positivité» (positivitude ?) et plutôt que de s’interroger sur les raisons pour lesquelles leurs propres chiens sont incapables d’actions de régulation (il n’est pas question de dressage, ni de chiens capables de tout gérer tout le temps, ni de harceleurs, ni de “concierges”, ni de chiens exploités (ni ordre, ni tricks, ni objectif, ni pression)) ils préfèrent exclure, a priori, l’éventualité même de leur existence, parlant tantôt de « licornes », tantôt de « mythe » ou encore de « mode »… Quelle tristesse ! Cette position allant même jusqu’à affirmer qu’aucun chien ne peut être capable de faire face à tous les profils de chiens ce qui induit qu’il n’existe aucun chien maîtrisant l’ensemble des codes canins (?).

    La bienveillance commence selon nous par l’acceptation de l’autre dans ces spécificités et ses différences, vouloir le modeler, le faire rentrer dans un moule standardisé c’est tout le contraire ! Merci Mon Chien préfère donc la bienveillance à tous les « certificats de positivité ».

    Oubliez les recettes de « grand-mère »

    Oubliez les recettes de « grand-mère »

    Le comportement du chien est de mieux en mieux connu et compris. Son éducation répond aux lois de l’apprentissage et l’impact négatif des méthodes coercitives, violentes ou seulement incohérentes est aujourd’hui mieux cerné.
    Aucun chien, aucune race, aucune situation ne nécessite de faire appel à la violence.
    Il n’y a pas de chien « dominant » qui nécessiterait « d’être mâté », pas de chien qui pour apprendre la propreté aurait besoin « qu’on lui mette le nez dedans », pas de chien qui deviendrait « méchant » après avoir dormi sur le canapé ou le lit, pas de chien qui ne puisse être éduqué qu’avec un collier à pointes.
    Vous allez croiser un grand nombre de personnes qui « savent », qui « ont toujours eu des chiens », et ces « experts » du chiens auront chacun leur recette pour « dresser » le vôtre, pour le « corriger », le « recadrer » …
    Si vous rencontrez un problème de comportement avec votre chien, réagissez tôt, n’attendez pas. Les comportements ne se corrigent pas tout seuls avec le temps, faites appel à un véritable professionnel en méthode positive. Si vous entendez parler de « dominant », de « chef de meute », de « coups de sonnette », de collier à pointes, « sanitaire », « coulissant » ou étrangleur… Préservez votre chien, passez votre chemin !

    Auteur : MerciMonChien® – Éducation canine bienveillante

    (Partage et copie intégrale libre avec mention de la source)

    Pourquoi les races brachycéphales souffrent de leur apparence ?

    Pourquoi les races brachycéphales souffrent de leur apparence ?

    Vous voulez savoir pourquoi les races brachycéphales souffrent pour leur apparence? Il suffit de comparer ces radios ! 

    1. La différence dans la longueur du nez est incroyable, surtout quand vous vous rendez compte qu’il y a la même quantité de tissus internes dans les deux. Pour le bouledogue ils sont comprimés dans un minuscule espace, ce qui rend difficile le passage de l’air et donc la respiration du chien.
    2. Il y a la même quantité de peau sur les visages des deux chiens, mais en ci qui concerne le bouledogue elle est froissée, plissée, ce qui expose ce chien à des infections cutanées douloureuses entre les plis.
    3. Regardez à quel point la mâchoire supérieure du bouledogue est déformée, de ce fait le bouledogue éprouvera des difficultés à s’alimenter correctement sera susceptible de développer des maladies dentaires douloureuses du fait d’une “surpopulation” dentaire.
    4. Sur une radiographie, l’air apparaît en noir et les tissus en blanc. Comparer la différence dans la quantité d’espace aérien en haut de la trachée. Les chiens brachycéphales sont sévèrement restreints dans ce domaine, c’est pourquoi ils se fatiguent si vite et ronflent autant.
    5. La bande noire qui coule dans le cou de chaque chien est la trachée. Regardez comme elle est étroite pour le Bouledogue par rapport au Labrador. La difficulté majeure se manifeste lorsque l’air a finalement passé tous les obstacles dans le nez du chien à nez écrasé, le faible diamètre de la trachée implique qu’il ne peut pas atteindre les poumons, et fournir l’oxygène vital aussi efficacement que pour un chien de race plus «normale» https://www.youtube.com/watch?time_…

    Les chiens avec des voies respiratoires supérieures normales respirent silencieusement. Les bruits respiratoires tels que le ronflement et le grognement sont des indicateurs d’obstruction des voies aériennes. Les chiens atteints de BOAS (brachycephalic obstructive airway syndrome – Syndrome brachycéphalique d’obstruction des voies respiratoires) peuvent présenter différents types de bruit en fonction de l’emplacement de l’obstruction: le pharynx, le larynx et / ou la cavité nasale. Certains chiens atteints de BOAS peuvent avoir seulement des bruits respiratoires lorsqu’ils sont excités, lorsqu’ils jouent, font de l’exercice, mangent / boivent ou sous l’effet du stress. Un examen vétérinaire approfondi est recommandé si le bruit respiratoire est marqué.

    Sources: https://www.facebook.com/catthevet/photos/a.165751743633107.1073741826.148871108654504/634888583386085/?type=3&theater http://www.biltonvets.co.uk/blog_br…

    Traduction : MerciMonChien® – Éducation canine bienveillante